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La surcharge mentale : pourquoi elle nous épuise et comment la réduire

Dernière mise à jour : 29 sept.

Femme épuisée qui se tiens la tête

Qu’est-ce que la surcharge mentale ?


Étymologiquement, la surcharge mentale signifie qu’il y a “trop” de charge dans notre esprit. Mais quand peut-on dire qu’il y en a trop ? Cela dépend de chacun : nos limites mentales ne sont pas fixes, elles varient selon les périodes de vie, les responsabilités et l’énergie disponible.


Quand la charge mentale devient un fardeau


La problématique évoquée ici est celle de l’accumulation de pensées.

Cette fameuse “liste des choses à faire” qui ne cesse de s’allonger, alors même que l’on tente de se concentrer sur une seule tâche.

On dit souvent que les femmes savent faire plusieurs choses en même temps. Mais cette aptitude a aussi un revers : l’épuisement mental, voire un épuisement général.

Dans une société où l’on court après le temps, où la performance est valorisée, on nous apprend rarement à respecter nos limites, à nous ressourcer et à utiliser nos meilleures capacités de façon équilibrée.


Les signes de surcharge mentale


Si vous vous sentez continuellement fatigué·e, au-delà de la simple fatigue physique, cela peut être un signe.

Le sommeil devient difficile, car l’esprit ne cesse de penser et d’organiser, générant stress, anxiété et peur d’oublier. À ce stade, vous avez probablement dépassé vos limites.

Le risque : évoluer vers une dépression ou un burn-out si rien n’est mis en place pour alléger cette charge.


Comment alléger sa charge mentale ?

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Je vais partager avec vous quelques clés que j’ai moi-même expérimentées pour apaiser ce flux incessant de pensées et d’injonctions :


1. Écrire pour libérer l’esprit

Chercher à “vider sa tête” est impossible. En revanche, on peut éviter le débordement en listant ce qui nous encombre.Les fameuses to-do lists ont un véritable pouvoir : écrire noir sur blanc permet d’alléger son esprit.

L’objectif n’est pas de tout réaliser immédiatement ni de culpabiliser si ce n’est pas fait, mais simplement de poser ses idées pour mieux prioriser ensuite.


2. Organiser ce qui revient sans cesse

Par exemple, l’organisation des repas. Pour ne plus y penser en permanence, j’ai choisi de prévoir un moment fixe dans ma semaine pour établir mes menus et mes courses. Je note les repas dans mon agenda, ainsi que les jours de courses.Résultat : ma charge mentale a diminué. J’ai moins de stress et plus de clarté.


3. Pratiquer la pleine conscience

Face aux ruminations incessantes, la méditation de pleine conscience est un outil puissant.

Fermez les yeux, prenez conscience des sensations de votre corps, focalisez-vous sur votre respiration et comptez à rebours à partir de 5.

Quelques minutes suffisent déjà pour apaiser le mental et retrouver un peu de sérénité.


4. Apprendre à écouter son corps

L’introspection est une étape essentielle : apprendre à reconnaître ses signaux physiques et émotionnels.Plutôt que de laisser le mental diriger, il s’agit de redonner une place centrale au corps, véritable boussole intérieure qui nous guide vers le chemin le plus juste pour nous.


Ateliers de reconnexion au corps

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Dans mes accompagnements, je propose des ateliers collectifs en présentiel, pour explorer cette reconnexion au corps.

Prendre rendez-vous avec soi est déjà un premier pas vers la reconnaissance de ses propres besoins.


Ces moments en groupe sont une occasion d’apprendre à se libérer de la surcharge mentale et de retrouver plus de sérénité au quotidien.

 
 
 

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